Esclaves d’Hier, Artiste d’Aujourd’hui à l’Institut des Cultures d’Islam
du 2 novembre au 31 décembre 2007.
Esclaves d’hier, Artistes d’aujourd’hui à partir du 2 novembre 2007 jusqu’au 31 décembre 2007 à l’Institut des Cultures d’Islam à Paris, tous un programme.
Le centre de préfiguration de l’Institut des Cultures d’Islam est un lieu de culture et de formation favorisant les échanges, l’élaboration de projets et la diffusion de connaissances autour des cultures musulmanes.
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Les visiteurs du centre sont donc invités à faire part de leur souhait et proposition en tant que visiteurs et également en tant que possibles porteurs de projets.
Programme de l’Institut des Culures d’Islam – Mairie de Paris:
Exposition du 2 novembre-31 décembre 2007
– GNAOUA ? Mémoire d ?Eux
– Rencontre avec Augustin Le Gall et Virgile Jourdan
Spectacles
– Le C?ur Soufi Alawiya
– Ensemble El WAJD
Rencontres- Débats
– Restitution de l’Etude et « Plurielles et durables, les cultures musulmanes dans la Capitale »
– Rencontre avec Sadek Sellam, La France et ses musulmans.
– Un siècle de politique musulmane (1895- 2005)
Cinémas
– Le pouvoir et la Mecque
– Le Coran
– L’histoire du Pays du Bon Dieu
– Exil de Tony Gatlif
Augustin Le Gall et Virgile Jourdan ont entamé un long périple photographique sur la musique et la danse liées à la transe des pays bordant la Méditerranée.
Ensemble, ils développent le concept de « Mémoire d’eux… », mise en mémoire poétique et photographique des événements
qui valorisent les arts vivants et la culture.
Les musiciens gnaouas du Maroc sont la première pierre de ce projet artistique.
Augustin Le Gall s’intéresse à la photographie et à l’anthropologie.
Spécialisé dans la photographie des Arts
vivants, il multiplie des travaux en Europe avec des lieux et des événements valorisant les pratiques artistiques et les artistes.
Virgile Jourdan se spécialise quant à lui dans le domaine de la danse.
C’est en suivant le Cannes jeune Ballet, l’école Rosela Highthower et des compagnies de
danse comme Phillipe Tréhet ou encore Preljocaj qu’il aiguise son regard photographique pour faire ressortir
pleinement les émotions transmises par le corps sur scène.
Source: Institut des Cultures d’Islam – Mairie de Paris