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[Mise à jour du jeudi 29 septembre 2021 à 21h23] L'accès des indépendants au chômage va être facilité. C'est l'une des mesures prévues par le plan en faveur des indépendants présenté par le gouvernement il y a quelques jours. L'allocation des travailleurs indépendants (ATI) sera accessible aux indépendants qui ont cessé leur activité car elle n'était plus viable financièrement. Le critère retenu pour juger de cette situation est une baisse du revenu fiscal de 30% d'une année sur l'autre. Auparavant, seuls les indépendants dont l'activité était placée en redressement judiciaire avaient droit à cette allocation. Cette mesure sera effective après l'entrée en application d'une loi en faveur des indépendants, prévue pour 2022.Allocation chômage et Pôle emploiSommaireAllocation chômage et Pôle emploiDroit au chômageCalcul de l'allocation chômageMontant de l'allocation chômageAllocation chômage : simulationDurée de l'allocation chômagePour percevoir l'allocation chômage (ou aide au retour à l'emploi ou ARE), vous devez être inscrit à Pôle emploi dans les 12 mois qui suivent la fin de votre contrat de travail et vous actualiser tous les mois. Au moment de l'ouverture des droits, Pôle emploi vous informe du montant et de la durée de l'indemnisation ainsi que du premier jour indemnisé. Le versement de l'allocation n'intervient pas dès le premier jour de la fin du contrat. Il y a un délai de carence à respecter qui dépend notamment du nombre de jours de congés payés que le salarié a à solder.Quelles sont les conditions pour avoir droit au chômage ?Pour avoir droit aux allocations chômage, vous devez remplir plusieurs autres conditions :Ne pas avoir atteint l'âge légale de départ à la retraiteNe pas remplir les conditions de trimestres ou d'âge permettant de bénéficier de la retraite à taux pleinEtre apte à travaillerAvoir travaillé au moins six mois durant les 24 derniers mois (contre quatre mois les 28 derniers mois avant le 1er novembre 2019).En outre, il faut être involontairement sans travail sauf exceptions. Les motifs retenus sont :Le licenciement, quelle qu'en soit la causeLa fin d'un CDDLes salariés qui démissionnent et ont au moins 5 ans d'ancienneté dans leur entreprise peuvent prétendre aux allocations chômage si leur démission a pour but réaliser un projet professionnel.Conditions d'accès au chômage pour les travailleurs indépendantsLes travailleurs indépendants peuvent toucher une indemnisation, l'allocation des travailleurs indépendants (ATI), de 800 euros par mois pendant 6 mois sous certaines conditions. Actuellement :L'activité non salariée doit avoir généré au moins 10 000 Lire Plus >>
mer, Sep 29, 2021
Nouveautés technologiques
SommaireDéfinition salarié vulnérableStatuts professionnels concernésActiver le placement en chômage partielMontant de l'indemnisation[Mise à jour du mercredi 29 septembre 2021 à 21h17] Entré en application en mai 2020, le dispositif de chômage partiel spécifique aux personnes considérées comme vulnérables a de nouveauu évolué de nouveau le 27 septembre 2021. Les salariés doivent désormais être dans l'un des trois cas de figure suivants : Etre considérés comme vulnérables, ne pas pouvoir bénéficier du télétravail ni des mesures adéquates et être affecté à un poste qui les expose à une forte densité viraleEtre considérés comme vulnérables, ne pas pouvoir bénéficier du télétravail et présenter une contre-indication médicale à la vaccination contre le Covid-19Etre immunodéprimés et ne pas pouvoir bénéficier du télétravail.Dans tous les cas, les salariés vulnérables doivent demander un certificat d'isolement depuis le 27 septembre pour pouvoir bénéficier du chômage partiel, même s'ils en ont déjà bénéficié jusque-là. Jusqu'à cette date, les salariés vulnérables bénéficient de l'activité partielle dès qu'ils ne peuvent effectuer leurs missions entièrement en télétravail ni avoir des mesures de protection suffisantes sur leur lieu de travail.Les salariés jugés vulnérables de par leur état de santé peuvent bénéficier du chômage partiel depuis le 1er mai 2020. Ce placement en activité partielle est assuré par l'employeur. Il s'agit d'une application de l'article 20 de la seconde loi de finances rectificative pour 2020.Les dispositions ont varié au cours des mois. Initialement, les salariés vulnérables pouvaient en bénéficier s'ils étaient en arrêt de travail dérogatoire jusqu'au 30 avril 2020. Un décret paru le 30 août 2020 durcissait les règles d'accès au chômage partiel à compter du 31 août. Mais le 15 octobre 2020, le Conseil d'Etat, saisi en référé, était revenu sur cette décision. Les dispositions prévues par le décret du 5 mai 2020 avaient été temporairement rétablies. Le 11 novembre, un décret était paru avec la nouvelle liste de critères permettant d'être considéré comme un salarié vulnérable. Elle avait donc de nouveau été élargie au 12 novembre, mais les personnes vivant avec une personne vulnérable en étaient de nouveau exclues.Une nouvelle modification intervient au 27 septembre, suite à la parution le 9 septembre d'un décret au Journal Officiel. Les situations permettant d'être classé comme salarié vulnérable restent les mêmes, mais les conditions permettant de bénéficier de l'activité partielle sont durcies.Qu'est-ce qu'un salarié vulnérable ?Les salariés considérés comme vulnérables ont été définis par une liste précise, détaillée dans le décret n°2020-1365 Lire Plus >>
mer, Sep 29, 2021
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Erreur n° 1 : Créer un site qui n'est pas " mobile responsive »C'est une statistique qui n'est souvent pas connue, mais c'est vrai : en 2020, le trafic Internet mobile en France a représenté plus de 37 % du total du trafic web mondial !Créer un site web " responsive » — c'est-à-dire qui s'adapte en fonction de l'appareil de l'utilisateur — est donc devenu une nécessité.La première raison de cette nécessité est l'apparence de votre site web. Celle-ci doit être agréable, bien évidemment... Seulement ça ne suffit pas. Vous l'aurez compris : l'affichage d'un contenu uniquement pensé pour l'ordinateur sur un petit écran de téléphone risque de vous créer des problèmes et notamment du point de vue SEO.Mon conseil :À chaque publication, pensez à tester votre site pour vérifier qu'il reste agréable à la navigation sur mobile , c'est le premier principe de l'UX (user experience).L'UX doit être intuitive, claire et amener l'utilisateur à l'essentiel. Un site qui n'est pas mobile responsive, même s'il est très bien conçu, ne sera pas à la hauteur et votre taux de rebonds va exploser !Erreur n° 2 : Ne pas personnaliser son thèmeSi vous utilisez Wordpress, Shopify ou tout autre éditeur de site internet, vous n'avez très probablement pas codé l'intégralité du site. En effet, la plupart des petites entreprises passent par des thèmes génériques qui constituent une ossature graphique de base pour la construction de leur site internet.Cependant, un thème générique ou un template n'est absolument pas personnalisé.Il convient donc de prendre le taureau par les cornes afin d'adapter le thème ou le modèle choisi à vos messages marketing. Voici deux conseils :Définissez une charte graphique claire : cette dernière, une fois fixée, ne doit pas changer pour les différentes pages du site. Police, couleurs, agencement des pages : tout doit être fait pour que votre site ressemble à votre activité. Adaptez cette charte graphique à votre positionnement marketing. Autrement, votre site aura une identité visuelle faible, et risque de ressembler à de nombreux autres sites sur la toile qui commettent cette même erreur. Erreur n° 3 : Négliger la lisibilité de vos pagesLes pages de votre site seront constituées de différents formats : images, textes, boutons, menus déroulants…Seulement, ces éléments — même s'ils ont tous une fonction bien précise — doivent être disposés de manière cohérente pour un parcours utilisateur optimisé. Quel est l'objectif de cette page ?À qui vous adressez-vous ?Quel message souhaitez-vous mettre Lire Plus >>
mer, Sep 29, 2021
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La cybersécurité est aujourd'hui l'un des plus importants défis auxquels sont confrontées les organisations, et fait aujourd'hui partie du top trois des priorités des entreprises. Malgré la crise sanitaire que nous traversons, la demande n'a jamais été aussi forte. Il y a une recrudescence des attaques aux ransomwares qui touche tout le monde. ​​La transformation numérique et l'utilisation du cloud ont fait naître de nouveaux risques pour les entreprises. Aujourd'hui, la question n'est plus de savoir qui, mais quand cela va arriver.Ces dernières années, nous observons des menaces de plus en plus importantes autour des plateformes Cloud qui ne sont pas toujours maitrisées et qui présentent des surfaces d'attaque potentiellement importantes. La mobilité, avec le développement massif du télétravail, révèle également que beaucoup d'organisation ne sont pas matures et s'exposent à de nouvelles menaces. Du fait de la multiplication des menaces et de l'évolution rapide des systèmes d'information et des usages, le sujet de la cybersécurité est devenu de plus en plus difficile à appréhender. Les entreprises ont besoin de propositions claires et pragmatiques qui leur permettront de maîtriser les risques et le degré de menaces auxquels ils sont confrontés. La digitalisation des entreprises a indubitablement posé des défis de sécurité majeurs, qui touchent aussi bien les grands groupes, que les PME et les organismes publics tels que les hôpitaux. C'est d'autant plus vrai que les demandes de réponses à incident de la part des hôpitaux explosent depuis la crise de la Covid-19.Nous allons vers une cybersécurité coopérative et collaborative. C'est une réelle prise de conscience du risque cyber, qui touche aussi les pouvoirs publics et fait apparaître des initiatives pour garantir un accompagnement de qualité et offrir une meilleure lisibilité des prestations et services aux victimes comme le label ExpertCyber. Face au développement des nouvelles technologies et l'explosion de la collecte et des échanges de données, la sécurité des systèmes d'informations doit s'adapter.Aujourd'hui, afin de répondre aux besoins des entreprises confrontées à des attaques en constante évolution, de nouveaux produits et services " clé en main » voient le jour. Destinés aux PME et TPE, ils sont accessibles et rapides à mettre en place. Lire Plus >>
mer, Sep 29, 2021
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[Mise à jour du mercredi 29 septembre 2021 à 18h33] En 2022, le crédit d'impôt instantané devrait être généralisé, selon le projet de loin de financement de la Sécurité sociale. Cette mesure, actuellement expérimentée à Paris et dans le Nord, permettra aux contribuables de percevoir immédiatement les aides et crédits d'impôts auxquels ils ont droit pour le recours aux services à la personne : femmes de ménage, jardiniers, professeurs pour des cours particuliers...SommaireMail de remboursement : attention aux arnaquesDate de remboursement des impôtsTrop-versé d'impôtsChangement de situation familialeRemboursement d'impôts avec crédit d'impôtMail de remboursement des impôts : attention aux arnaquesCertains contribuables reçoivent un mail les informant qu'ils ont droit à un remboursement de la part des services des impôts. Ces messages ont tout pour séduire : aspect très officiel et promesse alléchante. Mais attention, ils ne servent qu'à récolter des informations personnelles, ou phishing. Il faut savoir qu'en aucun cas, les services des impôts n'informent les contribuables par mail, et surtout qu'ils ne demandent pas les numéros de carte bancaire. Il convient donc de se méfier, de ne jamais répondre à ces messages et de prévenir la DGFIP. Lire l'article Lire Plus >>
mer, Sep 29, 2021
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[Mise à jour du mercredi 28 septembre 2021 à 17h56] L'activité partielle de longue durée, dispositif entré en vigueur à l'été 2020, permettant au salarié d'être indemnisé à hauteur de 84% de son salaire net et à l'employeur de supporter un reste à charge limité à 15%, sera maintenu jusqu'au 30 juin 2022. Par ailleurs, les travailleurs saisonniers peuvent désormais bénéficier de l'activité partielle de longue durée sous condition.SommaireFonctionnement APLDAPLD décretRémunération du salarié et APLDAllocation employeur et APLDConditions d'éligibilité à l'APLDAPLD et licenciementsCette version longue durée du chômage partiel a été actée dans son principe par le projet de loi portant sur des "dispositions urgentes face à l'épidémie de Covid-19". D'abord désignée sous le sigle de "ARME", pour "Activité réduite pour le maintien de l'emploi", la mesure prend finalement le nom d'APLD, pour "Activité partielle de longue durée".Qu'est-ce que l'APLD ?L'objectif de ce nouveau dispositif est de soutenir les entreprises qui font face "à une réduction d'activité durable qui n'est pas de nature à compromettre leur pérennité", en contrepartie d'engagements sur l'emploi. Les entreprises concernées, comme celles de l'aéronautique et de l'automobile, peuvent diminuer leur temps de travail dans la double limite de 40% et de 24 mois, consécutifs ou non, sur une période de 36 mois consécutifs. Cependant, la période courant du 1er novembre 2020 au 30 juin 2021 est neutralisée dans le calcul, c'est-à-dire qu'elle n'est pas prise en compte dans l'évaluation de la réduction maximale de l'horaire de travail.Cette réduction doit cependant respecter certaines conditions : faire l'objet d'un accord majoritaire collectif dans l'entreprise ou dans la branche et inclure "les engagements spécifiquement souscrits en contrepartie, notamment pour le maintien de l'emploi". L'accord dans l'entreprise doit être négocié avec le comité social et économique (CSE) quand il y en a un. Dans les entreprises de moins de 11 salariés, en l'absence de délégué syndical, l'accord peut faire l'objet d'un référendum. Au-delà de 11 salariés, en l'absence de membres du CSE mandatés, l'employeur peut, selon la situation, faire approuver l'accord par l'ensemble des salariés, ou négocier avec des salariés mandatés hors CSE ou avec des membres du CSE non mandatés. L'employeur a la possibilité de s'appuyer sur l'accord de branche existant pour mettre en place l'APLD par un document unilatéral. Dans ce cas, il doit tout de même consulter le comité social et économique (CSE).Pour mémoire, il existait déjà des conventions d'activité partielle de longue durée. Signées entre Lire Plus >>
mer, Sep 29, 2021
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SommairePrésentation du fonds de solidaritéConditions du fonds de solidaritéBénéficier du fonds de solidaritéMontant du fonds de solidaritéCalcul de la perte de chiffres d'affairesFiscalité du fonds de solidaritéFormulaire[Mise à jour du mardi 29 septembre 2021 à 17h50] Il vous reste peu de temps pour demander l'aide du fonds de solidarité au titre du mois de juillet, puisque le dernier jour est le jeudi 30 septembre. Le formulaire de demande du fonds de solidarité pour le mois d'août a quant à lui été mis en ligne mi-septembre et reste accessible jusqu'au 31 octobre. En Métropole et dans les territoires d'Outre-Mer non concernés par des mesures de reconfinement ou de couvre-feu, le fonds de solidarité n'est désormais accessible qu'aux entreprises des secteurs S1, S1 bis et à celles fermées administrativement, soit uniquement les discothèques pour août. L'aide doit être reconduite une dernière fois pour le mois de septembre, avant d'être arrêtée définitivement. Il ne devrait donc pas y avoir d'aide pour les pertes de chiffre d'affaires au mois d'octobre, à part pour les entreprises situées dans les territoires faisant l'objet d'un confinement ou d'un couvre-feu. Le fonds de solidarité sera remplacé par un dispositif déjà existant, la prise en charge des coûts fixes.Le montant ne correspond plus qu'à 30% des pertes en juillet 2021 et 20% en août 2021, dans la limite de 20% du chiffre d'affaires de référence, sauf pour les entreprises fermées administrativement, qui reçoivent 20% de leur chiffre d'affaires de référence. Les indépendants hors secteurs protégés n'ont plus droit aux aides, sauf exceptions dans les territoires reconfinés, malgré un appel du syndicat Independants.co à sa prolongation jusqu'à l'été 2022. Le fonds de solidarité ouvert à toutes les entreprises de moins de 50 salariés s'est arrêté avec l'aide de mai.Les entreprises situées dans les territoires reconfinés bénéficient d'une extension du fonds de solidarité pour les mois de juillet et août. Les entreprises fermées administrativement de façon partielle sont éligibles, ainsi que les entreprises de moins de 50 salariés de tous secteurs à partir de 50% de perte de chiffre d'affaires. Les entreprises des secteurs protégés voient leurs pertes couvertes à hauteur de 40%. Cette mesure concerne la Guyane pour le mois de juillet, ainsi que La Martinique, La Réunion, la Guadeloupe, la Guyane, Saint-Martin, Saint-Barthélemy et la Polynésie française pour le mois d'août. Le décret adaptant le fonds de solidarité pour les mois de juin et juillet avait été publié Lire Plus >>
mer, Sep 29, 2021
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SommaireDéfinition du pass sanitaireObtenir le passPass pour vaccinés et non vaccinésDélai après l'injection finaleStocker le pass dans son téléphoneFin du pass sanitaireQui est concernéObligation du pass sanitaireDate d'entrée en vigueurAge pour l'obligationLangue du pass Pas sanitaire et campingPass sanitaire et restaurantPass sanitaire et et salle de sportPas sanitaire et trainsVoyager sans passCentres commerciauxSalariés et pas sanitairePass sanitaire et AmeliPass sanitaire et test antigéniqueTousAntiCovid et pass sanitaireFrançais de l'étrangerPass sanitaire et CorsePass sanitaire et EspagnePass sanitaire et PortugalPass sanitaire et MarocExtension progressive[Mise à jour du mercredi 29 septembre 2021 à 17h44] Le gouvernement présentera le 13 octobre en conseil des ministres un projet de loi permettant le prolongement des mesures sanitaires, dont le pass sanitaire, jusqu'à l'été 2022, a annoncé le porte-parole du gouvernement. Ce projet de loi est annoncé depuis plusieurs semaines, mais la durée de prolongation n'avait jusque-là pas été précisée. "Nous avons des raisons d'être optimistes, mais les dix-huit mois qui se sont écoulés nous ont montré que nous devions rester prudents. Il faut se donner les moyens pendant encore plusieurs mois de se donner la possibilité de recourir à des mesures, si c'est nécessaire, pour protéger les Français", a justifié Gabriel Attal, qui assure que "notre souhait est de ne pas y recourir". Le but est d'anticiper l'absence du Parlement durant les périodes d'élection présidentielle et législative au printemps 2022. Un avant-projet de loi a d'ores et déjà été transmis au Conseil d'Etat, le projet devrait être présenté au Parlement courant octobre.Il a aussi, une nouvelle fois, confirmé le déremboursement des tests antigéniques et PCR, annoncé mi-juillet par le président de la République, estimant qu'il n'y avait plus de justification à les maintenir en dehors des cas médicaux. Le Premier ministre en a dévoilé les modalités dans le journal Les Echos le dimanche 26 septembre. Les tests réalisés pour obtenir un pass sanitaire, que ce soit pour voyager hors de France ou pour effectuer une des nombreuses activités pour lesquelles il est désormais obligatoire sur le territoire, seront donc payants à compter du 15 octobre. Leur prix devrait se rapprocher de ceux pratiqués pour les personnes étrangères se faisant tester en France : 43,89 euros pour un test PCR, 25 euros pour un test antigénique. Ils resteront gratuits quand ils sont prescrits par un médecin ou que la personne est cas contact d'une personne positive au coronavirus. En revanche, les personnes vaccinées continueront de Lire Plus >>
mer, Sep 29, 2021
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SommaireDéfinitionFrais couvertsCalculBarèmeRevalorisationImpôtsEnfant majeurDivorceGarde alternéeArrêt pension ObligationPension non versée[Mise à jour du mercredi 29 septembre 2021 à 17h34] Le projet de loi de finance de la Sécurité sociale pour 2022 inclut un dispositif pour lutter contre les impayés de pensions alimentaires. L'Agence de recouvrement et d'intermédiation des pensions alimentaires (Aripa), structure créée en 2017 et portée par la CAF et la MSA, sera en charge au 1er mars 2022 des pensions issues de divorces devant la justice et au 1er mars 2023 des autres décisions de justice et des divorces par consentement mutuel. Désormais, sauf refus express des parents, toutes les pensions alimentaires nouvellement fixées seront versées par l'intermédiaire de cet organisme, qui pourra donc contrôler leur paiement effectif. Depuis octobre 2020, cette possibilité est déjà offerte à ceux qui en font la demande.Qui a le droit à la pension alimentaire ?La pension alimentaire désigne une aide financière dont peut bénéficier une personne dans le besoin : l'époux / épouse ou l'ex-époux / ex-épouse de celui ou celle qui la verse, ses enfants, en cas de divorce des parents, ou encore son conjoint survivant, dans le cadre du règlement d'une succession.Que comprend la pension alimentaire ?La pension alimentaire est versée pour assurer les dépenses nécessaires à la vie quotidienne de l'enfant : nourriture, frais de scolarité, habillement... Par nature, les frais exceptionnels et imprévisibles (dépenses de santé imprévues, frais extra-scolaires...) ne sont pas inclus dans le calcul de la pension alimentaire. Ils doivent alors faire l'objet d'un partage équitable entre les deux parents.La pension alimentaire prend généralement la forme d'une somme d'argent mais il peut aussi s'agir d'une prise en charge directe de frais, comme ceux engagés pour l'entretien et l'éducation de l'enfant, par exemple.Comment est calculée la pension alimentaire ?Le montant de la pension est déterminé par le juge aux affaires familiales. Pour le fixer, il se base sur les ressources et les charges de celui qui doit la verser (le débiteur) et sur les besoins de celui à qui elle est due (le créancier). La pension alimentaire peut être indexée sur l'inflation et varier en fonction de l'indice des prix à la consommation. Voici une méthode pour estimer le montant de la pension à laquelle vous avez droit par enfant :Revenu du débiteur (celui qui doit vous verser la pension) - minimum vital (montant du RSA, soit 565 euros)Résultat obtenu multiplié par un coefficient qui dépend de l'amplitude du Lire Plus >>
mer, Sep 29, 2021
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SommaireQu'est-ce que la CSS ?Qui a droit à la CSS ?Quel est le plafond pour l'aide à la CSS ?Comment fonctionne la CSS ?Demande de CSSDurée de la CSSRenouvellement de la CSSCSS refusée : que faire ?[Mise à jour du mercredi 29 septembre 2021 à 16h50] La complémentaire santé solidaire sera proposée automatiquement aux bénéficiaires du RSA, sans qu'ils aient aucune démarche à accomplir, à compter de 2022. C'est ce que prévoit le projet de loi de financement de la Sécurité sociale de 2022. Les bénéficiaires de l'allocation de solidarité aux personnes âgées (Aspa) verront aussi leurs démarches simplifiées.Qu'est-ce que la complémentaire santé solidaire ?La complémentaire santé solidaire est une mutuelle destinée aux bas revenus, soit gratuite soit payante en fonction de vos ressources. Elle assure le remboursement de vos dépenses complémentaires de soins, dans la limite des tarifs de la Sécurité sociale. Le forfait journalier hospitalier est aussi remboursé, et vous n'avez pas de franchises médicales à payer.Qui a droit à la complémentaire santé solidaire ?La CSS est accessible aux citoyens français, et aux étrangers qui résident en France sans interruption depuis plus de 3 mois et disposant d'un titre de séjour valide. Les personnes sans domicile fixe peuvent demander une adresse administrative auprès d'une association agréée ou d'un centre communal d'action sociale pour déposer leur demande.Quel est le plafond pour l'aide à la complémentaire santé ?La CSS est associée à un double plafond. Jusqu'au 1er 20201, elle est gratuite si vous avez gagné au cours de l'année précédente moins de 9 032 euros pour une personne seule, 13 547 euros pour deux personnes, 16 257 euros pour trois personnes, 18 966 euros pour quatre personnes, plus 3 612,62 euros par personne supplémentaire.Elle est partiellement payante si vous avez gagné moins de 12 193 euros pour une personne seule, 18 293 euros à deux personnes, 21 947 euros pour trois personnes, 25 604 euros pour quatre personnes, plus 4 877,04 euros pour toute personne additionnelle. Ces plafonds sont légèrement plus élevés dans les DROM.Comment fonctionne la complémentaire santé solidaire ?Si vous avez droit à la CSS gratuite, votre part complémentaire vous est remboursée dans le cadre du tiers payant : vous n'avez pas à avancer vos frais médicaux. Si vous avez droit à la CSS payante, vous payez votre part de la mutuelle tous les ans ou mois : le montant vous est fourni dans la réponse Lire Plus >>
mer, Sep 29, 2021
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Pour faire sa mue écologique, le bitcoin a deux solutions. La première, et la principale, remettre en cause la preuve de travail (PoW pour proof-of-work), fortement consommatrice d'énergie. Problème. "Ils ne changeront rien", assène Jean-Paul Delahaye, , professeur émérite à l'université de Lille, qui résume le problème simplement : "Le bitcoin ne changera pas de consensus car ceux qui détiennent le pouvoir de faire cela sont les mineurs qui ont investi dans des machines et savent se procurer de l'électricité pas chère". Car si c'est un mécanisme qui a des défauts, il a aussi de gros avantages, notamment sur la partie sécurité". Or, les mineurs pensent que la sécurité de la PoW ne peut pas être égalée par un autre consensus.Toutefois, on ne peut nier que le bitcoin représente les deux tiers de la consommation électrique de l'ensemble de l'univers des cryptomonnaies. A lui seul, le bitcoin consomme davantage que les 499 autres crypto-monnaies ayant une capitalisation supérieure à 50 millions de dollars.Le problème de la consommation d'énergie n'est pas ignoré par les mineurs. "Nous avons tous conscience de ce point crucial qu'est l'impact énergétique, estime Thibaut Boutrou, directeur marketing chez Just Mining. Pour cette raison, depuis plusieurs années, tous les acteurs travaillent dans ce sens. On utilise chaque année plus d'énergie verte, ainsi que des machines et de nouveaux consensus moins énergivores".La preuve d'enjeu, le consensus qui fait consensus dans les autres blockchainsMais la blockchain bitcoin fait figure de vieux dinosaure face aux nouvelles blockchains, qui fonctionnent plutôt à la preuve d'enjeu (PoS ou proof-of-stake). D'ailleurs, la blockchain Ethereum, deuxième capitalisation des crypto-monnaies, et de loin la plus utilisée dans les applications de finance décentralisée, a choisi la PoS pour sa future version 2.0. On peut donc aisément penser qu'au fil du temps, le consensus PoW va peu à peu s'effacer face aux autres et notamment la PoS. La raison ? La PoS réduirait la facture d'électricité de… 99 % ! Or, réduire la facture, c'est aussi réduire la consommation d'énergie.Pour réduire l'empreinte carbone de la blockchain, il faudrait aussi éviter que les mineurs et les serveurs continuent à utiliser de vieilles et polluantes centrales à charbon. Bien qu'il estime le phénomène minoritaire, Thibaut Boutrou regrette que certains mineurs américains aient permis la renaissance de vieilles centrales à charbon. Youssef El Manssouri ajoute que les "mineurs texans, par exemple, exploitent maintenant les gaz liés à l'exploitation de pétrole permettant Lire Plus >>
mer, Sep 29, 2021
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Le 12 mai dernier, Elon Musk relançait le débat sur l'impact environnemental du bitcoin. A peine un mois et demi après avoir accepté la cryptomonnaie comme moyen de paiement d'une Tesla aux Etats-Unis, l'entrepreneur revenait sur cette décision pour des raisons, selon lui, écologiques. Bien-sûr, le timing de cette annonce et son contenu ont de quoi surprendre. Elon Musk n'a pas découvert le minage du bitcoin en mai 2021. Il fait néanmoins ressurgir l'un des principaux arguments des anti-bitcoin, à savoir sa consommation énergétique et l'impact environnemental engendré par le minage. Un débat partisan où chaque partie estime détenir la vérité absolue.C'est en 2017, après son premier bull run, faisant passer le bitcoin à 20 000 dollars, que le grand public commence à se fasciner pour ce placement d'un nouveau genre… et à s'inquiéter de son impact gouvernemental. Problème numéro un : le minage et la preuve de travail (PoW pour proof-of-work), c'est-à-dire la façon dont les bitcoins sont créés, les transactions vérifiées et validées. Avec au programme des ordinateurs surpuissants dans une forêt de fils électriques et un système de refroidissement pour éviter que ce que l'on appelle une ferme de minage ne se transforme en four. Autrement dit, une source de consommation électrique."Plus le cours du bitcoin augmente, plus les mineurs sont prêts à acheter de l'électricité pour miner"Mais quelle est la consommation électrique réelle du minage ? Selon Jean-Paul Delahaye, professeur émérite à l'université de Lille et mathématicien, "on connait avec une assez bonne précision la puissance cumulée". La principale source est le Bitcoin Energy Consumption Index du site Digiconomist. On y découvre qu'une simple transaction en bitcoin consommerait environ 750 kg de CO², ce chiffre évoluant régulièrement. A titre de comparaison, cela équivaudrait à plus de 1,5 million de transactions du réseau Visa, plus de 120 000 heures de visionnage Youtube et 52 jours de consommation électrique d'un ménage américain.Le calcul annualisé nous donne une consommation de plus de 60 mégatonnes (mt) de CO² et de 125 térawatt-heure (TWh) d'électricité. Sans effectuer une analyse approfondie, un simple regard sur ces chiffres peut donner le tournis. Oui, miner du bitcoin engendre une importante consommation d'énergie brute et, si le consensus PoW est le plus sécurisé de la blockchain, il n'en reste pas moins le plus énergivore. A titre de comparaison, Jean-Paul Delahaye explique que "le bitcoin dépense plus que 5 réacteurs nucléaires, et plus que toutes les Lire Plus >>
mer, Sep 29, 2021
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Les villes intelligentes ne sont pas qu'une question de technologie, de réseaux de capteurs ou d'intelligence artificielle. Les bâtiments intelligents doivent faciliter de manière durable la vie des gens qui y vivent. C'est très différent d'une approche purement informatique d'entreprise, faite de bits et d'octets, dans la mesure où il est très important de tenir compte des besoins des personnes.L'une des technologies clés pour les villes intelligentes est le réseau étendu sans fil de faible puissance (LPWAN). Il s'agit d'une technologie clé pour l'Internet des objets (IoT) qui permet de déployer rapidement et facilement des capteurs de faible puissance dans les bâtiments intelligents où des données doivent être collectées pour servir les besoins des gens.Il peut s'agir de surveiller le nombre de personnes présentes dans une pièce ou se déplaçant dans un bâtiment, ou de mesurer la température ou les niveaux de dioxyde de carbone ou tout autre type de données nécessaires pour aider les gens à se sentir mieux. Ces données doivent être collectées et rassemblées, mais surtout, elles doivent être exploitées pour améliorer la qualité de vie des habitants de la ville intelligente. Pour cela, il faut combiner les bons capteurs, une technologie de réseaux sans fil et des outils de gestion de données.Les protocoles LPWAN sans fil tels que LoRaWAN permettent d'utiliser des capteurs à faible consommation d'énergie qui peuvent fonctionner pendant des années, voire des décennies, avec une simple pile bouton, évitant ainsi les coûteuses interventions pour remplacer les piles. L'utilisation d'un système sans fil alimenté par batterie permet de placer les capteurs exactement là où ils sont nécessaires, et de les déployer dans de grands bâtiments, voire dans la ville toute entière.La technologie LoRa de Semtech, à l'origine de la norme LoRaWAN, fournit des liaisons sans fil fiables, dans des bandes de fréquences sans licence en dessous du 1 GHz. Ces bandes ‘sub-GHz' permettent un fonctionnement sur de longues distances et à faible consommation, tandis que le protocole assure une liaison robuste et fiable. Grâce à cette combinaison, les capteurs sans fil peuvent être alimentés par une pile bouton pendant de nombreuses années.Les capteurs se connectent à une passerelle qui collecte les données et les transmet à un réseau plus large, l'Internet des objets (IoT). Ces passerelles sont alimentées par secteur ou par Ethernet (PoE), et sont reliées au logiciel d'un opérateur, soit localement, soit dans le cloud.La prolifération des capteurs, et la connexion IoT, Lire Plus >>
mer, Sep 29, 2021
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[Mise à jour du mercredi 29 septembre 2021 à 14h56] Le dispositif MaPrimeRenov' devrait être prolongé en 2022, selon le projet de loi de finance 2022. Le texte indique que le gouvernement apportera un milliard d'euros à ce mécanisme, contre 400 millions d'euros en 2017. Pour rappel, depuis le 1er juillet 2021, les propriétaires bailleurs peuvent faire leur demande d'aide sur maprimerenov.gouv.fr. Cet élargissement du dispositif concerne les travaux ayant fait l'objet d'un devis signé à partir du 1er octobre 2020. Au programme également, un bonus pour accélérer le traitement des logements énergivores F ou G (passoires thermiques), une incitation pour les ménages plus fortunés à réaliser des rénovations globales de leur bien qui génèrent un gain énergétique de plus de 55%, un bonus Bâtiment Basse Consommation (BBC), pour récompenser l'atteinte de l'étiquette énergie B ou A, ainsi que la création d'un forfait Assistance à Maîtrise d'Ouvrage (AMO) permettant d'accompagner les ménages.SommairePrésentationConditionsTravaux éligiblesMontantMaPrimeRénov' roseMaPrimeRénov' bleuMaPrimeRénov' jauneMaPrimeRénov' violetCumulDemandeVersementQu'est-ce que MaPrimeRénov' ?A compter du 1er janvier 2020, le CITE (crédit d'impôt pour la transition énergétique) est transformé en prime pour les ménages modestes, fusionnée avec l'aide Anah Agilité et versée dès l'envoi des factures des travaux. Cette prime unique est baptisée "MaPrimeRénov". Le CITE est toutefois maintenu pour les ménages non éligibles à cette prime jusqu'au 31 décembre 2020.A compter du 1er janvier 2021, le bénéfice de MaPrimeRénov' est étendu à tous les ménages, sans condition de ressources, ainsi qu'aux copropriétés, et le CITE disparaît définitivement (sont concernés les devis signés à compter du 1er octobre 2020). Au 1er juillet 2021, nouvel élargissement du dispositif MaPrimeRénov' : celui-ci est désormais accessibles aux propriétaires bailleurs.Qui a droit à MaPrimeRénov' ?Pour les devis signés entre le 1er janvier et le 30 septembre 2020Le remplacement du CITE par une prime pour les ménages modestes se fait selon les conditions de ressources de l'Agence nationale pour l'habitat (Anah). Pour bénéficier des aides de l'Anah, il faut afficher des ressources inférieures à certains plafonds. Ci-dessous les limites de revenu fiscal de référence à ne pas dépasser en 2020. Ile-de-FranceAutres régionsNombre de personnes composant le ménageMénages aux ressources très modestes (€)Ménages aux ressources modestes (€)Ménages aux ressources très modestes (€)Ménages aux ressources modestes (€)120 59325 06814 87919 074230 22536 79221 76027 896336 29744 18826 17033 547442 38151 59730 57239 192548 48859 02634 99344 860Par personne supplémentaire6 0967 4224 4125 651Le logement pour lequel la prime est sollicitée doit Lire Plus >>
mer, Sep 29, 2021
Nouveautés technologiques
rSommaireCalcul de l'impôt sur le revenuSimulation de l'impôt sur le revenuBarème de l'impôt sur le revenuTranches d'impôt sur le revenu[Mise à jour du mercredi 29 septembre 2021 à 14h51] : Le projet de loi de finance de 2022 prévoit une modification du barème de l'impôt sur le revenu, avec une hausse de 1,4% des limites de tranche, pour correspondre à l'augmentation des prix.Le barème de l'impôt sur le revenu n'a pas connu de grand chambardement en 2021. Début 2020, en revanche, celui-ci a été chamboulé afin de mettre en œuvre une baisse d'impôt sur le revenu de 5 milliards d'euros pour près de 17 millions de foyers fiscaux. Soit un gain moyen de 300 euros par foyer, d'après l'exécutif. Un an plus tôt, c'était au tour du mode de recouvrement de l'impôt de connaître un profond changement, avec la mise en place du prélèvement à la source, qui a remplacé le recouvrement sur avis d'imposition pour la majorité des contribuables, au 1er janvier 2019.Comment calculer son impôt sur le revenu ?Etape 1 : diviser son revenu imposable par le nombre de partsEtape 2 : appliquer à chaque tranche son taux d'impositionEtape 3 : additionner les impositions et multiplier le total par le nombre de parts.Pour calculer le montant de votre impôt brut, vous devez, dans un premier temps, diviser votre revenu net imposable par le nombre de parts de quotient familial auquel vous avez droit. Ce dernier est fonction de votre situation familiale (célibataire, marié(e), Pacsé(e), divorcé(e), séparé(e) veuf ou veuve) et du nombre de personnes que vous avez éventuellement à charge (enfants mineurs, majeurs, personnes handicapées, invalides). Ensuite, il convient d'appliquer au résultat de cette division le barème 2020 de l'impôt sur les revenus (détaillé ci-dessous). Enfin, vous devez additionner les montants d'impôt obtenus par tranche et multiplier le total par le nombre de parts.Prenons l'exemple d'un célibataire sans enfant à charge ayant perçu un revenu net imposable de 35 000 euros. En vertu des règles de calcul du nombre de parts, celui-ci n'en a droit qu'à une seule. Voici les étapes à suivre pour calculer son impôt sur le revenu :Diviser son revenu imposable par le nombre de part, soit : 35 000 € / 1 = 35 000 €Appliquer à chaque tranche son taux d'imposition, soit : Jusqu'à 10 084 € : 0 € ; De 10 085 € à 25 710 € : (25 710 - Lire Plus >>
mer, Sep 29, 2021
Nouveautés technologiques
First View, la nouvelle émission du JDN, réalisée en partenariat avec l'IAB France, sera diffusé le jeudi 30 septembre à 12 heures, depuis la home du JDN. Cette première émission s'intéressera au sujet de la mesure, la grande oubliée du monde cookieless. On s'interrogera avec Rémi Lemonnier (Scibids), Alexis Taquard (Eulerian) et Margarita Zlatkova (Weborama) sur les conséquences de la disparition des cookies tiers, sur la mesure de la performance des impressions publicitaires et la réconciliation du parcours du consommateur. On vous expliquera pourquoi vous allez (peut-être) devoir dire adieu à la mesure post view et revoir la manière avec laquelle vous faites du post clic.On s'attardera aussi sur le fait que dans un secteur où ce qui n'est pas mesuré n'existe pas, c'est un problème. On évoquera, bien évidemment, les alternatives : ID partagés, méthode panéliste, solutions au niveau du navigateur comme Privacy Sandbox de Google ou Private Clic Measurement d'Apple. Avec pour chacune, une revue des avantages et des limites. Lire Plus >>
mer, Sep 29, 2021
Nouveautés technologiques
Depuis son déploiement en 2019, Michelin a propulsé pas moins de 120 projets sur son corporate data lake (CDL). "C'est l'un des principaux indicateurs de résultat de cette plateforme", souligne Jean-François Duteyrat, product owner CDL chez Michelin. A ce jour, le groupe revendique 800 utilisateurs de rang un qui recourent au lac de données. Comment expliquer cette montée en puissance ? Par le choix d'un modèle cloud, synonyme d'élasticité, et en particulier d'une architecture basée sur un PaaS (platform as a service).Sur son corporate data lake, Michelin multiplie les cas d'usage. La plateforme a par exemple donné naissance à des datamarts prêts à l'emploi pour la finance, avec à la clé une logique de business intelligence en libre-service. Mais aussi à des modèles de machine learning pour de multiples métiers. Des IA qui anticipent la demande du marché pour ajuster les capacités des chaînes de production, ou encore les réapprovisionnements pour éviter les ruptures de service en magasin. Autre exemple : des algorithmes d'apprentissage sont mis au service du job matching au sein du SIRH de l'entreprise.Big data et IALe PaaS sous-jacent est Azure. En amont, Azure Data Factory, le service d'ETL (pour extract-transform-load) du cloud de Microsoft, fédère les informations en provenance des multiples applications de Michelin. Il les déverse dans Azure Storage qui les stocke sous forme de fichiers à plat au format .csv. Objectif : encaisser rapidement les fortes volumétries. Ensuite, Databricks entre en action. Par le biais de son moteur Spark, le lakehouse exécute les traitements et analyses de données sur des clusters de machines virtuelles Azure découplés de la couche de stockage.Utilisé sous la forme d'un service managé Azure, Databricks expose les données .csv via des tables relationnelles sur lesquelles les citizen data analyst lancent leurs requêtes SQL. Quant à ses API Python et Scala, elles ouvrent respectivement le lac de données aux data scientist et data ingineer de la société."Dans la logique du security by design, les donnée et les droits d'accès ont été segmentés du bas en haut de la plateforme"Produit de référence de Microsoft en matière de business intelligence, PowerBI contribue en parallèle à démocratiser plus largement l'accès au data lake au sein de l'entreprise dans une logique de self-service.Pour chaque projet, l'édifice est répliqué. Du coup, les ressources machines sont dimensionnables verticalement, à la fois pour le stockage et le processing des données, et horizontalement en fonction des besoins de chaque Lire Plus >>
mer, Sep 29, 2021
Nouveautés technologiques
De récentes initiatives démontrent que leur digitalisation est en marche, malgré qu'elle reste plus ou moins avancée selon le secteur et le vouloir de l'entreprise, et permet ainsi d'extraire de ces documents statiques des informations dynamiques réutilisables dans d'autre systèmes et ajustables au besoin.Voici donc ce qu'il convient de prendre en compte lorsque vous réfléchissez au déploiement d'une solution de gestion de contrats, afin d'en exploiter tout le potentiel et d'en faire un véritable actif.Comprendre l'enjeu de la gestion contractuelle à travers cinq défis majeursMême si chaque stratégie est unique et dépend des caractéristiques et besoins propres à l'entreprise, voici les cinq défis majeurs que peuvent rencontrer les équipes lors de l'utilisation de ces documents :Une procédure de gestion chronophage qui requiert souvent la navigation entre différents outils et équipes. C'est alors une action humaine qui permet de vérifier que les contrats contiennent bien toutes les clauses nécessaires, respectent les exigences de chaque service, ont été signés par les bonnes personnes, ne sont pas bloqués dans le processus d'approbation, etc.Des obligations non respectées avec pour cause des ressources limitées ne permettant pas de les surveiller correctement. Cela peut se traduire en paiement impossible sur des contrats expirés ou encore des pénalités si un jalon est dépassé.Des opérations en silos qui séparent les équipes, mais aussi les outils qui sont encore trop souvent différents d'une équipe à l'autre et non intégrés aux systèmes métiers de l'entreprise. La recherche et duplication des informations est alors nécessaire et amène le risque de l'erreur lors de la resaisie.Des droits contractuels masqués, notamment avec le télétravail alors que les contrats sont stockés physiquement dans les locaux, dans des boîtes email ou sur des ordinateurs personnels. Le manque de visibilité menace alors l'entreprise et ses activités avec des documents statiques et trop peu pris en compte.Un risque réglementaire avec une mise en conformité de plus en plus complexe qui demande d'adapter les contrats à chaque évolution, d'en vérifier la transposition à l'international ou encore d'en créer de nouveaux de zéro lorsqu'aucun modèle n'existe. Les questions à se poser pour choisir le système adéquatUne fois ces défis compris et mesurés à l'échelle de l'entreprise, se pose souvent la question des critères pour sélectionner telle ou telle solution. Voici une proposition d'étapes à suivre pour ce faire :Quels types de contrats souhaitez-vous couvrir ?Si le dilemme entre la sélection d'une application achats ou contrats apparait, la réponse Lire Plus >>
mer, Sep 29, 2021
Nouveautés technologiques
Toutes les organisations accélèrent aujourd'hui leur feuille de route en matière de transformation numérique, les projets se multiplient et impactent tout autant les processus métiers que l'environnement documentaire. Pourtant, si les interactions entre ces deux composantes paraissent évidentes, force est de constater que les solutions logicielles de BPM et de GED restent encore majoritairement distinctes dans les schémas directeurs des DSI, à tort ? Les fonctionnalités individuelles ce ces outils peuvent-elles rivaliser avec le potentiel de création de valeur d'une approche plus unifiée ?La GED, toujours plus connectée aux processus métiersLes documents numériques se sont généralisés ces dernières années : bons de commande, contrats, factures, comptes-rendus… circulent en permanence pour validation, diffusion et/ou consultation. Leur bonne gestion dépend donc autant des mécanismes de création et de stockage, que des workflows collaboratifs qui les font vivre, que ce soit en interne ou dans une approche d'entreprise étendue avec les clients, fournisseurs et autres partenaires. Tout le monde s'accorde d'ailleurs sur le fait que le travail collaboratif autour d'informations partagées accélère la performance et c'est précisément l'atout des solutions de GED et de BPM d'optimiser ces échanges.Or, l'approche de la GED reste encore très traditionnelle, elle est souvent réduite à des aspects de stockage dématérialisé, de partage de documents puis d'archivage, alors que la dimension collaborative indispensable au succès des projets de transformation numérique ne peut se résumer à gérer les points d'entrée et de sortie des documents. Dans la pratique, le cycle de vie de l'information se fait toujours dans la continuité des processus métiers qui font constamment évoluer les personnes habilitées à consulter ou modifier les documents. Si la gestion des droits d'accès n'est pas suffisamment fluide entre les deux solutions, on en arrive vite à ce que les utilisateurs contournent les dispositifs et partagent par des canaux séparés des documents dont la confidentialité n'est plus garantie. Appréhender globalement la GED et le BPM n'est donc pas seulement une question de performance mais aussi de protection des données et de sécurité de l'organisation.Les vertus d'une approche globale du BPM et de la GED Bien que l'association paraisse logique, l'unification des outils de BPM et de GED peut évidemment effrayer les DSI au regard de la complexité que cela engendrerait en matière de conduite du changement et de l'ampleur des modifications qu'il y aurait à mettre en œuvre au sein du système d'information et de l'organisation du travail elle-même. C'est pourtant Lire Plus >>
mer, Sep 29, 2021
Nouveautés technologiques
Slide conférence Dan Bernier
Après deux jours consacrés au SEO, la 13ème édition du SEO Camp'us s'est terminée vendredi 24 septembre, à l'Usine, non loin de Paris. Les enseignements étant trop nombreux (45 conférences !) pour être tous listés, le JDN a décidé d'en partager trois avec vous.La génération de contenu de plus en plus intelligenteSalle comble pour la conférence de Vincent Terrasi, qui portait sur la génération de contenus. Le constat du product director d'Oncrawl est simple, les outils de génération de contenu deviennent de plus en plus perfectionnés et se démocratisent de plus en plus.Pour Vincent Terrasi, la différence entre les outils ne vient pas du nombre (énormes) de paramètres qu'ils peuvent supporter mais plutôt de l'entraînement du modèle et sur quel type de données le modèle est entraîné. Encore cantonnée à des textes simples et courts, l'intelligence artificielle va progressivement s'étendre à des problématiques business. En réentraînant un modèle, il est déjà possible de générer des descriptions produits pertinentes pour un site e-commerce tout en respectant le tone of voice de la marque.La révolution des outils d'analyticsLes contraintes juridiques liées au consentement de l'internaute sont de plus en plus présentes et imposent d'agir différemment au niveau de la récolte des données. Si l'on ajoute à cela la myriade de technologies et la maturité des organisations sur le sujet, le domaine de l'analytics change et se complexifie. C'est le constat d'Aristide Riou et Vincent Lahaye, respectivement Data Team Manager chez Southwatts et responsable tracking chez Ouest-France, pour qui ces évolutions ne sont pas près de s'arrêter : les lois européennes vont être de plus en plus restrictives.Or ces restrictions ont des conséquences sur l'exhaustivité de la data récoltée. "Ce qu'on voit dans Analytics, ce n'est pas la réalité", estime Aristide Riou. En effet, selon la consent management platform choisie par le site, et avec les bloqueurs de publicités et les VPN, les données récoltées sont dégradées ou modifiées. C'est donc peut-être le moment de se poser la question : "Est-ce que Google continue de satisfaire mes besoins en analytics ?"Les clés pour comprendre l'intention de rechercheIl est tout à fait possible de ressortir premier sur une requête concurrentielle sans en tirer les bénéfices, à savoir des visites et potentiellement des ventes, estime Dan Bernier, exemples à l'appui.© Dan BernierLe référenceur propose une autre vision des choses. En reprenant le triptyque SEO bien connu (contenus, technique et popularité), il conceptualise un Lire Plus >>
mar, Sep 28, 2021
Nouveautés technologiques
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